Non, ces bananes emballées qu’on voit à l’épicerie ne vont pas disparaître. Mais une poignée d’industriels canadiens, principalement du secteur alimentaire, croient qu’en triant un peu mieux les déchets de plastique, il serait possible de réduire substantiellement la pollution engendrée par leurs emballages.


28 septembre 2021

Le Devoir

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